samedi 5 mars 2011

Les partis politiques :Girondins- Montagnards.

La politique avant la révolution était une monarchie absolue. Le roi décidait tout.

Avant la revolution française :

Qui s’occupe ?
Le pouvoir législatif
Le pouvoir exécutif
le pouvoir judiciaire
LE ROI
LE ROI
LE ROI







Pandant la révolutionil y avait des réunions avec les diputés du tiers état, ceux du clergé y ceux de la noblesse. Jousqu’au 17 juin 1789, que ke tiers était c’est proclamé Assemblé nationale.
A partir de ceux moment il y a eu deux partis politiques :
Les girondins.
Ils se nommait "Brissotins" de l'époque (le nom de Girondins leur a été donné plus tard). C était un groupe politique de la Révolution française qui fut majoritaire au débutà l’Assemblée législative (en face des Montagne) à la Convention nationale car ils étaint plus modéres. La Gironde, est le nom donné à parce qu’il était composé de plusieurs députés issus de la région de Bordeaux. L'appellation Girondiste a donné la désignation Girondins popularisée au début du XIXe siècle. En fait les Girondins sont l'amalgame de tendances distinctes en 1792 et 1793, les "Girondins" dont quelques uns furent exécutés en octobre 1793. Ils étaint dirrigés par Brissot.
Jacques Pierre Brissot, dit de Warville, né à Chartres le 15 janvier 1754 et guillotiné à Paris le 31 octobre 1793, est un conventionnel et écrivain politique français, présenté comme le chef de file des Girondins pendant la Révolution française. Brissotchef du parti de la guerre: l'apprenti sorcier croyait donner un second souffle à la Révolution. Ce fut un ouragan qui emporta, avec bien d'autre, les têtes de la Gironde.
Pierre Victurnien Vergniaud
Il est né le 31 mai 1753 à Limogeset il est mort guillotiné le 31 octobre 1793 en France.Il était un avocat, homme politique et révolutionnaire français.
Bien plus que l'organe oratoire du
parti girondin, il fut l'un des plus grands orateurs de la Révolution Française, et au delà, de son siècle. Les historiens ayant préféré s'attacher aux montagnards. Président à plusieurs reprises de l'Assemblée législative et de la Convention nationale, c'est lui qui déclara la "patrie en danger" (discours du 3 juillet 1792) c'est également lui qui prononça la suspension du roi au 10 août 1792 et le verdict qui condamnait Louis XVI à la mort. Il fut pour beaucoup dans la chute du trône, et la levée en masse des citoyens pour la guerre. Il fut avec Danton un des grands organes énergiques de la Révolution.

Les montagnars.

Le nom de Montagne a été donné à la partie la plus révolutionnaire de la Convention, parce qu'elle occupait les bancs les plus élevés de la salle où cette assemblée tenait ses séances. Les membres de la Montagne, appelés Montagnards, étaient les chefs des Jacobins (c’était les même ides que les sans coulottes) et des Cordeliers; ils renversèrent le parti des Girondins le 31 mai 1795. Au début les girondins furent le parti dominant mais après les montagnerds, jusqu'à la chute de Robespierre le 9 thermidor (27 juillet 1794). Ils étaint dirrigés par Daton, Marat, Saint-Just et Robespierre.

Georges Jacques Danton, né le 26 octobre 1759 à Arcis-sur-Aube et mort guillotiné le 5 avril 1794 (16 germinal an II) à Paris, est un avocat et un homme politique français.
Danton est une des figures emblématiques de la Révolution française tout comme Mirabeau avec qui il partage un prodigieux talent oratoire et un tempérament impétueux, avide de jouissances (les ennemis de la Révolution l'appellent le Mirabeau du ruisseau), Il incarne la « Patrie en danger » dans les heures tragiques de l’invasion d’août 1792 quand il s'efforce de fédérer contre l'ennemi toutes les énergies de la nation : pour vaincre, dit-il, « il nous faut de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace et la France sera sauvée ! ».Il s’est vite constitué autour de sa personne une légende.

Jean -Paul Marat ean-Paul Marat, né à Boudry (principauté de Neuchâtel) le 24 mai 1743 et mort à Paris le 13 juillet 1793 est un médecin, physicien, journaliste et homme politique français. Il fut député montagnard à la Convention à l’époque de la Révolution. Il a longtemps été considéré comme le principal responsable des massacres de septembre, ce qui a noirci son image, même si les historiens sont revenus assez largement sur son rôle. Son assassinat par Charlotte Corday permit aux Hébertistes d'en faire un martyr de la Révolution et d'installer pendant quelques mois ses restes au Panthéon

Maximilien Marie Isidore de Robespierre est né le 6 mai 1758 à Arras (Artois) et mort guillotiné le 28 juillet 1794 à Paris, place de la Révolution, était un avocat et un homme politique français.
Principale figure des Montagnards sous la Convention, il incarna la « tendance démocratique » de la Révolution française. Il demeure l'un des personnages les plus controversés de cette période, surnommé « l'Incorruptible » par ses partisans, et qualifié de « tyran » ou de « dictateur sanguinaire » par ses ennemis pendant la Terreur et après Thermidor.
Louis Antoine Saint-Just
Fils d'un capitaine bourguignon, Louis Antoine Saint-Just étudie et écrit des vers quand la Bastille est prise. S'enthousiasmant pour la Révolution et pour Robespierre, il doit attendre la chute de la monarchie pour être élu député de l'Aisne. Il lui reste alors moins de deux ans à vivre.
Le 30 mai 1793, il entre au Comité de Salut Public, un gouvernement d'exception sous la présidence de Robespierre. D'un fanatisme démesuré, il dénonce les députés girondins suspects de mollesse et prône la Terreur comme moyen de sauver la Révolution. Il fait voter la loi des suspects qui permet d'arrêter ceux qui «n'ayant rien fait contre la Liberté, n'ont rien fait pour elle». Il proclame froidement : «Ce qui constitue une République, c'est la destruction totale de ce qui lui est opposé».





À GAUCHE
LES MONTAGNARDS

A DROITE
LES GIRONDINS



Explication du nom


Se placent en haut des tribunes de la Convention


Une partie des députés est originaire du département de la Gironde


Origine sociale


Bourgeoisie : avocats, médecins, savants, journalistes


Bourgeoisie : banquiers, commerçants, propriétaires terriens




Idées


- Principes de Rousseau : démocratie
- Favorables à la centralisation "la République est Une et indivisible…" (=jacobinisme)
- L'intérêt de la Nation est au-dessus de l'intérêt des individus. Pour le protéger, on peut recourir à des mesures d'exception.



- Attachés à la propriété privée
- Favorables à la décentralisation
- Contre les mesures exceptionnelles.

Représentants


Robespierre, Danton, Marat, Desmoulins, St-Just


Brissot, Vergniaud, Roland
Les montagnards ont fait la révolution pour avoir des droits ( 26 août) puis après ont pris le pouvoir et ont enlevé des droits pour les qu ils avaient lutté, et on décapité tout le monde contre la révolution. Je pense que c’est une contradiction, mais grâce a eux ont a enlevé les privileges et la monarchie du roi. C’es un mouvement très important grâce aux bourgeois riches qui n’avent pas de privileges et qui ont instrut un peuple qui avait aim, au sans coulattes,jacobins... qui a fait un chongement radical pour France.
Sources : notes presses en classe et cours
Paula Aguarón Galán
4eme4

lundi 28 février 2011

Jean Paul Marat

Jean Paul Marat , né à Boudry le 24 mai 1743 . Il était fils de Jean Baptiste Marat , un capucin défroqué d’origine sarde et de Louise Cabrol, genovoise.Il appartenait à une famille nombreuse.
Après ses études quitta Neuchâtel en 1759 et à Paris compléta ses études et sa formation de médecin en i765. En Angleterre il exerça comme médecin et vétérinaire.Il commença ces travaux comme journaliste et considèré disciple de Rousseau. Aprés l’obtencion de son dîplome de médecin en 1775 dans les Provinces Unies, il s’installa à Paris et ouvrit un cabinet d’expériances où il fit des recherches en physique expérimentale, sur la nature du feu, la lumière et l’ éléctricité medical.
Le 12 septembre 1789, Marat publiait le premier numéro de “ Publiciste parisien “, et jusqu’a septiembre 1792 ferat paraître près de mille numéros.
Après la journée de 10 Août 1792 il incite à l’élimination de royalistes emprisonnés, et cette fois il est suivi par les girondines. Les révolutionnatres se rendirent aux prisons et y massacrèrent des nombreux prisionniers ( environt 1.500 morts ).Le 9 septembre 1792 Marat est choisi député.
La Convention National décréta l’ arrestation de Marat en 1793. Dépuis le 3 juin Marat tombe malade d’origine herpétique et sa l’obligue à prendre des bains pour se soulager.
Marie-Anne Charlotte de Corbay arrive à Paris dans l’intension d’assasiner Marat dans l’Assemblée, mais Marat reste chez lui par la maladie et reçoit la visite de députés jacobins avec le peintre Jaques Louis David.
Le 12 juillet Marat reçoit la visite de Charlotte Corbay à la troisième tentative, et aprés un entretien qui dure un quart d’heure, sorte un couteau et frappe Marat à la poitrine et traverse le poumon droite,l’aorte et le coeur. Marat était dans sa baignoire-
Mara test presenté comme martyre de la liberté et “ panthéonisé “ le 5 septembre 1794.

Lucia Agramunt
4 5
La Révolution Francaise
La prise de la Bastille
14 juillet 1789

40 jours plus tôt, les États Généraux se sont réunis à Versailles et les députés ont constaté que les maux du gouvernement appelaient davantage qu'une simple réforme de l'impôt. Ils ont décidé de remettre à plat les institutions et de définir par écrit, dans une Constitution, de nouvelles règles de fonctionnement, selon l'exemple américain.
Le 9 juillet, l'assemblée réunie à Versailles se proclame Assemblée Nationale Constituante. L'initiative ne plaît pas au roi ni à son entourage. Le 12 juillet, Louis XVI renvoie son contrôleur général des finances, Jacques Necker, un ministre très populaire.
Tout bascule avec l'arrivée de deux détachements de la Garde National. Ces soldats professionnels chargés de veiller sur la capitale prennent le parti des émeutiers. Ils vont leur assurer la victoire.
Sous le commandement de deux officiers, Élie et Hulin, ils amènent deux canons et les pointent sur la Bastille. Il s'ensuit un début d'incendie à l'entrée de la forteresse et quelques pertes chez les défenseurs.
Il est 4 heures du soir. De Launay se ressaisit, ordonne soudain le feu à outrance puis tente de faire sauter les magasins de poudre. Mais ses invalides lui imposent de brandir un mouchoir pour parlementer. Le feu cesse. Les ponts-levis sont abaissés et la foule se rue dans la forteresse.
Les soldats suisses, qui ont eu le temps de retourner leurs uniformes, sont pris pour des prisonniers et épargnés. Mais la foule lynche les invalides.
Le marquis de Launay, qui a tenté de se suicider, est traîné dans les rues de la capitale avant d'être décapité. Sa tête est fichée sur une pique et promenée en triomphe à travers le faubourg ainsi que les têtes des autres défenseurs de la Bastille.
À la Bastille, on libère les détenus au prix d'une légère déception car il ne s'agit que de sept personnages de minable envergure. Au demeurant, les émeutiers sont surpris de découvrir des chambres spacieuses et d'un grand confort, à l'opposé des cellules de torture que décrivaient complaisamment dans leurs brochures les intellectuels poudrés qui avaient eu, comme Voltaire, l'occasion de séjourner à la Bastille. 

Source 
Herodote
http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=17890714

Sachezvousdistinguer
http://www.vurpillot-jenna.fr/blog/rediffusion-du-14-juillet-2008-du-2007-du-2006-du-2005/

Louis Mancebo 
45

Biographie de Jean-Paul MARAT

Note de Mme Castro : Ce travail sérieux et complété par des images pertinentes (malheureusement pas visibles ici) a été récompensé par la note maximale. Je le considère personnellement comme étant le meilleur de la classe, bien que celui d'Anna Bernial ait rendu le choix difficile.


Jean-Paul Marat, né à Boudry le 24 mai 1743 et mort à Paris le 13 juillet 1793 est un médecin, physicien, journaliste et homme politique français.
Il fut députe montagnard à la Convention à l’époque de la révolution.
Il a été longtemps considéré comme le responsable des massacres de septembre.
Après son assassinat par Charlotte Corday les Hébertistes ont fait de lui un martyr de la Révolution et ont installé ses restes au Panthéon pendant des mois.

Après ses études secondaires, il quitte sa famille à la fin 1759.
Après son passage par Bordeaux il séjourne à Paris en 1762-1765 où il entreprend en autodidacte ses études de médecine. Puis il s’établit en Grande-Bretagne, en 1770 il est médecin et vétérinaire à Newcastle. Il publie des ouvrages philosophiques, scientifiques et juridiques (Essai sur l’âme humaine, Essai philosophique sur l’homme, Les chaînes de l’esclavage….).
En 1775, il est reçu docteur en médecine à l’université de Saint-Andrew, en Écosse, rentre à Paris en 1776 où il est nommé médecin des gardes de corps du comte d’Artois.

Il rédige son Plan de législation criminelle autour des années 1777-1778, où il s’attaque à l’ordre social en dénonçant le caractère de classe de la justice, des lois, de l’État et du droit de propriété.
En 1788, il tombe gravement malade.
En 1789, il fonde un Journal, l’Ami du Peuple, qui attaque violemment les aristocrates, les ministres, et surtout La Fayette.
Son oeuvre s’intéresse de près aux masses populaires qui, selon lui, auraient dû être les vraies bénéficiaires de la Révolution française.
Ses critiques se tournent contre la bourgeoisie du Tiers État et contre ceux qui la représentent, en particulier, Mirabeau et La Fayette.
Il devient membre des Cordeliers, puis membre du Comité de surveillance de la Commune.
En 1792 il s’éprend de Simone, 28 ans, qu’il avait connue deux ans auparavant, qu'il épousera.
Député de Paris à la convention, montagnard extrêmiste et presque isolé, il vote la mort de Louis XVI, réclame une dictature révolutionnaire et s’oppose fermement aux Girondins qui chutent le 2 juin 1793.
La réaction est brutale: une de leurs admiratrices, Charlotte Corday, l’assassine à son domicile.
Jacques-Louis David fut chargé d’organiser des funérailles grandioses.
Jean Paul Marat passe alors à la postérité, comme la figure mythique des sans-culottes.



Sitographie: - www.jesuismort.com/biographie_celebrite_paul_marat
- fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Marat
- bogdisea.com
- agoravox




Opinion Personnelle:

À mon avis, Marat était un homme d'une grande intelligence, défenseur du peuple et du pouvoir établi et qui mena ses idées jusqu’au bout quelqu'en soient les conséquences. C'est un personnage fondamental de l’histoire de la Révolution française dont la figure sera érigée en martyr.




Clara Juan Orduña. 4º-5.

La prise de la Bastille

La prise de la Bastille est un événement de la Révolution française du 14 juillet 1789. Le peuple avait imaginé que la Bastille renfermait beaucoup de victimes de l’arbitraire. Ce jour date la fin de l'«Ancien Régime» et le début de la Révolution française.
La Révolution commence :
Des jours avant les états généraux se sont réunis à Versaille. Les députés décident de mêttre par écrit une constitution. Le 9 juillet l’Assemblée se proclame Assemblée constituante ce qui ne plaît pas au roi : conséquence le roi renvoie le ministre Nécker.
Échec de l’émeute :
Le 13 juillet, à Paris, la rumeur se répand que les troupes royales vont entrer en force dans la capitale pour mettre les députés aux arrêts. Au matin du 14 juillet, des artisans et des commerçants se rendent à l'hôtel des Invalides en quête d'armes. Le gouverneur cède aux émeutiers et ouvre les portes. La foule emporte 28.000 fusils et 20 bouches à feu. Mais il lui manque encore de la poudre... La garnison se compose de 82 vétérans, dit invalides, et d'un détachement de 32 soldats suisses. Face à elle, les émeutiers ne font pas le poids. Ils sont un millier seulement, sans commandement et sans armes lourdes. Le marquis de Launay, gouverneur de la Bastille, veut gagner du temps en attendant des secours. Il reçoit trois délégués et les retient à déjeuner. Il s'engage à ne pas tirer sous réserve que les émeutiers ne tentent pas d'entrer dans la forteresse. Mais une explosion mystérieuse émeut la foule. On crie à la trahison. Un groupe pénètre dans l'enceinte par le toit du corps de garde et attaque à coups de hache les chaînes du pont-levis. Puis il y a une 100 de morts.
Les gardes françaises contre la Bastille:
L'arrivée de deux détachements de gardes françaises. Ces soldats professionnels chargésde veiller sur la capitale prennent le parti des émeutiers. Ils vont leur assurer la victoire. Élie et Hulin, deux officiers, ils amènent deux canons et les pointent sur la Bastille. Le marquis de Launay tente de se suicider mais Sa tête est fichée sur une pique et promenée en triomphe à travers le faubourg ainsi que les têtes des autres défenseurs de la Bastille. À la Bastille, on libère les détenus.
Finalement:
Le premier anniversaire de l'événement donnera lieu à une grande réconciliation nationale, la Fête de la Fédération.
Bibliographie:
http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=17890714
« diccionario enciclopédico larousse editorial planeta »
Moi je pense que ce texte il est très intéressant car il nous facilite la compréhension de l’histoire et sa nous porte toujours de l’émocion parce qu’on cést pas se que va se passé après. C’est trèsamusant de pouvoir savoir comment sa s’est passé et pouvoir l’imaginé tout.
Anna BERNIAL ALMOR 4º5

La déclarartion des droits de l’homme et du citoyen . (1789)

Introduction :

Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution, et au bonheur de tous.


Se compose d'un préambule et 17 articles, et l'ambition des éditeurs de fournir un document consistait non seulement applicable à la France, mais d'une validité universelle. L'axe de la déclaration est l'égalité de tous les hommes: l'égalité politique (un homme une voix), (suppression des titres de noblesse) civile (pas de privilèges ou exemptions) et social. Les libertés sont aussi reconnu comme un élément naturel (c.-à inhérents à l'individu) pour afficher la personnalité précise, maintenir leur propre conscience et de faire un travail. En termes de libertés publiques, sont inscrits dans le regroupement, d'association, d'opinion, etc.

Mon opinion : J’ai choisis ce thème car je pense qu’il est très interessant de savoir depuis quand on a des droits .

Bibliographie : 

Sara Gil
 

Le Directoire

 Le Directoire est une période de la Révolution française qui dure du 4 Brumaire an IV (26 octobre 1795) au 18 Brumaire an VIII (9 novembre 1799). Il s’agit de la seconde tentative pour créer un régime politique constitutionnel. Le pouvoir législatif repose sur un parlement bicaméral (le Parlement est divisée en deux chambres distinctes, une chambre haute et une chambre basse) : le Conseil des Cinq-Cents (assemblée législative formée par 500 membre) et le Conseil des Anciens (autre assemblée législative formée par 250 membres). Le pouvoir exécutif, lui, est un directoire de cinq personnes nommées par le Conseil des Anciens sur une liste formulée par le Conseil des Cinq-Cents. Les ministres et les cinq directeurs ne sont pas responsables devants les assemblées mais ils ne peuvent pas les dissoudre, car aucune procédure ne permet de résoudre les conflits. 
 

Le conseil des Cinq-Cents

Les Thermidoriens, députées de l’Assemblée nationale, ont imposé que les deux tiers des élus soient de la Convention. Les régions de l’ouest, de la vallée du Rhône et de l’est du Massif Central élisent des députés royalistes. Pendant toute le durée du Directoire, le régime est très instable : les réseaux par correspondance royalistes mêlent renseignement, propagande et action politique. En mars 1797, les partisans du retour à la monarchie remportent les élections. Les Républicains, en septembre 1797, organisent un coup d’Etat qui chasse deux des cinq directeurs et invalide l’élection de 177 députés.

Les élections de 1798 semblent favoriser les Jacobins (dominicains, société politique), et les conseils s’octroient le droit de nommer les députés dans la moitié des circonscriptions (fractions du territoire qui sert de cadre à l’élection de chaque député). Les Thermidoriens gardent le pouvoir, mais sont totalement inaperçus. La situation économique contribue à détourner les Français du Directoire : les impôts ne sont plus encaissés, et l’assignat (billet de monnaie) a perdu toute sa valeur, qui est vite remplacé par une autre monnaie. Le mandat territorial subit en un an la même chose que l’assignat. La France connaît donc une baisse de prix, et incapable de faire face à l’énorme dette accumulée par la monarchie absolue en 8 années de révolution, les assemblées créent la banqueroute des deux tiers. La France refuse de payer, mais consolide le tiers restant en l’inscrivant dans le grand livre de la dette. Un nouvel impôt est créé en 1798.

Les armées françaises sont passées à l’offensive. En 1796, la France lance une attaque à travers l’Allemagne pour obliger l’Autriche à faire la paix, mais c’est l’armée d’Italie, commandée par le général Napoléon Bonaparte, qui gagne victoire en victoire en for4ant l’Autriche à signer la paix par le traité de Campo Formio du 17 avril 1797.

Le Directoire prend fin par le coup d’Etat du 18 Brumaire an VIII (9 novembre 1799) de Napoléon Bonaparte qui déclare « Citoyens, la révolution est fixée aux principes qui l’ont commencée, elle est finie. ». Le Consulat est mis en place et un nouveau régime est aussi mis en place : le régime autoritaire, dirigé par trois consuls, dont le premier détient le pouvoir. La France commence une nouvelle période de son histoire en confiant son futur à un empereur.


Napoléon premier consul

Je pense que le Directoire aurait très bien put s’en sortir si il n’aurait pas eu à rembourser toutes les dettes datant de la monarchie absolue. Cette période est fort intéressante, mais il y a eu beaucoup de complications et donc cette période n’a pas pu subsister.





BONDOERFFER Pierre, rédigé le 17/02/11.

L´éxecution de louis xvi

La famille royale , depuis la journée du 10 out , elle était enfermée dans la Tour du Temple . Les Girondins avaient peur des conséquences de l´éjecution du roi et préféraient la déportation à un pays étranger en lui exigent qu´ il n´ allait pas faire échouer la révolution.
Les jacobins au contraire étaient partidaires de l´éxécution du roi ,la Convention était la responsable de choisir le destin du roi. Les disputions durèrent trois mois, les Girondins défendirent débilement la vie du roi mais ils furent petit à petit convaincus. En fin ils firent une triple votation : la première pour décider si le roi était coupable .La deuxième pour décider si on consulter à la nation le futur du roi et la troisième si la Convention déciderait le futur du roi si la deuxième ne prospérait pas .Dans la première décidèrent que le roi était coupable, la deuxième ne prospéra pas. La convention lui condamna a mort pour 387 votes contre 334. Le 21 janvier Louis Capeto fut sorti de la Tour de Temple et conduit à la Place de la Révolution ou on avait levé l échafaud. Louis parla a voix haute il se déclara innocent et montra son amour pour la France et les français mais il ne le laissèrent pas terminer, puis le roi fut exécuté.


Avis personnel :

Je pense que l´exécution du roi n´était pas nécessaire car le résultat de la révolution ça aurait était le même étant le roi en prison. Je pense que ça aurait était mieux une déportation à un pays étranger et je suis sure que  l´exécution  fut une image néfaste de la France pour les autres pays européens .



Bibliographie :

- encyclopédie d´histoire universel Eunsa.

Pedro Aparicio

La prise de la bastille

Att: Mme Castro

La prise de la Bastille est un événement de la Révolution française survenu le mardi 14 juillet 1989. Le 14 juillet jour où la Bastille est prise d´assaut par les Parisiens est, par tradition, considérer comme marquant la fin de l´Ancien Régime et le début de la Révolution française. Le président de l´Assemblée Constituante le 14 juillet 1789 est l´Abbé Grégoire. La fête de la fédération fut organisée a la même date l´année suivante, pour coïncider avec le premier anniversaire de l´événement.

La foule se rassemble au pied de la Bastille, armée avec les armes prises aux Invalides. Deux délégations sont envoyées dans la matinée au gouverneur Launay, il les reçoit mais ne leur donne pas satisfaction.
En début d´après midi, les défendeurs de la Bastille ouvrent le feu sur les émeutiers qui la menacent. Deux nouvelles délégations sont envoyées au gouverneur, sans plus de succès, tandis que défenseurs et émeutiers se tirent toujours dessus.
Cinq des six compagnies du prestigieux corps d'élite des Gardes Françaises entrent dans la révolte. Ils amènent 5 canons des Invalides et les mettent en batterie devant la Bastille. Le gouverneur finit par accepter la reddition de la Bastille, contre promesse de laisser la vie sauve a tous les défenseurs. Malgré les garanties qui lui avaient été données , le gouverneur de la Bastille Launay est massacre par la foule. Le prévôt des marchands subit le même sort, et leurs têtes sont promenées au bout de piques dans toute la ville.

Ignorant la chute de la Bastille, et voulant apaiser les choses, Louis XVI donne en fin de journée l'ordre d'évacuer les régiments qui campent dans la capitale.
D'un point de vue purement pratique, politique et stratégique, l'aventure de la prise de la Bastille s'arrête ici. Les parisiens sont armes , mais le régime ne chute pas pour autant. C'est sur le plan du symbole que l'événement est d'importance .Il fera grand bruit dans l'Europe entière. A défaut de servir encore a quelque chose, la Bastille était le symbole de l'arbitraire du roi. En la détruisant, c'est le symbole de la toute puissance du roi qu'on jette a bas.

Pour se faire une idée de la porte du symbole, pensez aux attentats du 11 septembre contre le World Trade Center : l'économie américaine ne s'est pas effondrée avec les tours, aucun dirigeant politique ou économique de premier plan n'a été tue... mais pourtant le monde a été marque par une atteinte au symbole de la puissance économique et financière américaine. Avec la prise de la Bastille , c'est pareil : rien n'empêche le pouvoir monarchique de marcher comme avant, mais le symbole est atteint et le mythe de sa toute puissance a vécu.

Je crois que cette révolution était nécessaire. Quand je pense a la peur , la frayeur de ces braves gens, on est en droit de se demander comment ils ont pu arrive a cette situation. Peut être ça nous fait penser dans nos jours a ce qui se passe dans certains pays où les présidents (ou les rois ) ne pensent que a dépenser les économies de toute une vie de labeur et n'aident pas les régions du pays a sortir du sous développement.


SOURCES:



PAOLA MAGNANON LOPEZ
4 ème 4
Gamain serrurier du roi, dénonça l`armoire de fer après plusieurs ans au service de Louis XVI
François Gamain, né à Versailles le 29 août 1751, appartenait à une famille d'entrepreneurs de serrurerie, qui était venue s'établir à Versailles à l'époque des grands travaux faits dans cette ville par Louis XIV. Son père, Nicolas Gamain, serrurier fort habile, était entrepreneur des bâtiments du roi.


Il fit de son fils un adroit ouvrier et le chargea de la serrurerie de l'intérieur du château.
.Le Roi rencontrait souvent le jeune serrurier dans les appartements, il aimait parler avec lui de ses travaux. Il s'attacha à François Gamain, et voulut essayer, sous sa direction, à fabriquer des serrures et quelques objets d'art à son usage. Il fit construire un petit atelier dans les combles du château. Dans cet atelier, qui existe encore aujourd'hui, il s'enfermait fréquemment avec Gamain, et travaillait avec lui pendant des heures entières. Le roi l'avait pris en grande affection; il l'avait nommé serrurier de ses cabinets, ce qui lui donnait l'entrée dans ses appartements, et, lorsque le père de Gamain mourut, il lui continua la charge de serrurier de ses bâtiments.

L'affection de Louis XVI pour Gamain était si grande, qu'elle choquait ceux qui étaient admis dans l'intimité du roi.

Lorsqu'arrivèrent les journées des 5 et 6 octobre 1789, et que Louis XVI fut forcé menacé à tout instant de l'envahissement de son palais, Louis XVI sentit la nécessité d'avoir un lieu sûr et caché où il pût déposer ses papiers les plus importants, ce fut encore à Gamain qu'il s'adressa pour exécuter ce travail de confiance, et ce fut lui qui construisit l`armoire de fer.

Elle avait été fabriquée dans l'épaisseur d'un mur, près de la chambre à coucher du roi et elle était fermée par une porte en tôle de fer recouverte d'une couche de peinture imitant la pierre ; l'ouverture de la serrure se trouvait dissimulée dans les rayures de la pierre. Il était impossible de découvrir cette cachette. La reine ayant appris que Gamain était devenu révolutionnaire et haïssait la royauté et le roi, le mit en garde contre lui. Sur les insistances de la reine, le roi accéda de retirer de l'armoire les pièces les plus compromettantes
La plupart des pièces concernaient les correspondances des ministres de Louis XVI D'autres lettres concernaient aussi presque tous les acteurs de la Révolution, que ce soit le général Santerre ou La Fayette, Antoine de Rivarol ou Talleyrand.
D'autres documents étaient des rapports concernant les activités de corruption menées par les agents des ministres sous la direction de Collenot d'Angremont qu'on se précipita d`"expédier", avec Laporte.
Le 1er décembre Gamain fit cette déclaration (texte avec l`orthographe respecté) :

« J'ai cru, devoire, en décharger ma conscience et en faire la révélation au citoyen Heurtier, mon supérieur, dont je me flatte d'avoir la confiance à tous égard. Je déclare donc que le dix-huit novembre dernier j'ai déposé mon ségré dans le sein du citoyen heurtier, que j'ai ensuite été appelé à paris par lui, de la part du Ministre, de l'intéreure ou m'étant transporté le ving dumaime mois, j'ai accompagné le ministre aux thuilleries pour lui indiquer l'ouverture en question. Je déclare en outre que le meime jour j'ai ouvert par ordre du Ministre la porte qu'il recouvrait la ditte cachette dans laquelle le Ministre a trouvé des papiers qu'il a fait emparqueté, en présent du citoyen heurtier et de moy, pour être le tous transporté à la Convention nationale par des personnes qu'il a fait appelée à cet effet.
« Fait à Paris le premier décembre 1792, premier de la République française. François GAMAIN.

Si Gamain n`aurait pas parlé, on aurait peut-être pas su la trahison de Louis XVI donc je pense que Gamain a bien fait de le dire.
Si on veut savoir plus:
Sources :

Marta Forés Legua 4ème4

L'armoire de fer

Note de Mme Castro : Ce travail a été récompensé par la note maximale. Je le considère personnellement comme étant le meilleur de la classe, ex-aequo avec La fusillade du Champ-de-Mars d'Inés Cuartero. La présentation, les images et les liens apportant des précisions supplémentaires ajoutent à la qualité du texte ; malheureusement ces aspects ne sont pas visibles ici. 


AFFAIRE DE L’ARMOIRE DE FER DE LOUIS XVI, OU LA TRAHISON DU SERRURIER FRANÇOIS GAMAIN.
   
Louis XVI s'adressa à son serrurier attitré, François Gamain, pour construire une armoire de fer et cacher aux yeux des Révolutionnaires des documents attestant de tractations secrètes avec des cours européennes et ses correspondances avec Mirabeau, Dumouriez et La Fayette. Mais à l'annonce de la fuite du roi, le serrurier en révéla l'existence de cette armoire, accusant de surcroît le souverain d'avoir tenté de l'empoisonner. Une affaire opportune plaidant en faveur de l'accusation au procès de Louis XVI...
Cette armoire était destinée à dissimuler la correspondance de Louis XVI avec, entre autres, Mirabeau dont on découvrit la vénalité et le double jeu, Maximilien Radix de Sainte-Foix, conseiller occulte du souverain, Joseph Duruey et Tourteau de Septeuil ses banquiers, Arnaud de Laporte, intendant de la Liste civile sur laquelle des fonds étaient prélevés, François de Bonal, évêque de Clermont, etc. C'est à la suite de cette découverte que la dépouille de Mirabeau fut retirée du Panthéon.
La plupart des pièces concernaient les correspondances des ministres de Louis XVI (Montmorin, Valdec de Lessart, Bertrand de Molleville, le comte de Narbonne, Cahier de Gerville, Dumouriez, etc.). D'autres lettres concernaient aussi presque tous les acteurs de la Révolution, que ce soit le général Santerre ou La Fayette, Antoine de Rivarol ou Talleyrand.
D'autres documents étaient des rapports concernant les activités de corruption menées par les agents des ministres sous la direction de Collenot d'Angremont qu'on se précipita d'"expédier", avec Laporte, dans les jours qui suivirent le 10 août 1792.
Tous ces documents, malgré les lacunes et filtrages probables, démontraient la duplicité des conseillers et des ministres - du moins ceux dont Louis XVI avait la confiance - qui avaient mis en place une diplomatie et une police parallèles. On découvrit surtout l'existence d'un vaste réseau de corruption mis en place et structuré dès 1791 par Montmorin pour corrompre des meneurs populaires ou des orateurs de clubs, ainsi Antoine Joseph Santerre ou François Desfieux[1]. Des tentatives avaient même été menées pour gagner des députés de l'Assemblée, notamment lorsqu'après la journée du 20 juin 1792, il avait été question d'aborder la question du "décret de déchéance".
Lors de la journée du 10 août 1792, les papiers personnels de Louis XVI et de Marie-Antoinette furent confiés à des membres de leur entourage. Ainsi, Mme Campan, lectrice de l'ex-reine de France, recueillit-elle une liasse de documents importants qu'elle remit à Georges Gougenot de Croissy (1721 – 1796), secrétaire honoraire du roi. D'autres papiers, lettres et correspondances, furent mis en lieu sûr ou détruits. Mais les plus grandes destructions sont imputables à ceux qui avaient été compromis par les conseillers occultes de Louis XVI. Le ministre de l'Intérieur Roland aurait joué un rôle à cet égard et fait disparaître ce qui concernait son collègue Danton. Le 20 novembre 1792, Jean-Marie Roland déposait ces archives, du moins ce qui en restait et qui était considérable, sur le bureau de la Convention nationale, brisant ainsi toutes les manœuvres destinées à empêcher de renvoyer Louis XVI en jugement.
Mon opinion :
Moi, personnellement je serais de la part des révolutionnaires, mais je crois qu’à l’intérieur de la Convention je serais plutôt de la part des Girondins, qui ne sont pas aussi strictes que les Montagnards.
Ce travail m’a paru vraiment très intéressant et j’ai appris de nouvelles choses. J’ai aimé faire ce travail.
Ça me paraît, comme une nouvelle de mystère, avoir trouvé une armoire en ‘’cachette’’…
La Source :

Signature complète: María Llorens Furió.
Classe : 4.4 année 2010-2011