lundi 28 février 2011

Jean Paul Marat

Jean Paul Marat , né à Boudry le 24 mai 1743 . Il était fils de Jean Baptiste Marat , un capucin défroqué d’origine sarde et de Louise Cabrol, genovoise.Il appartenait à une famille nombreuse.
Après ses études quitta Neuchâtel en 1759 et à Paris compléta ses études et sa formation de médecin en i765. En Angleterre il exerça comme médecin et vétérinaire.Il commença ces travaux comme journaliste et considèré disciple de Rousseau. Aprés l’obtencion de son dîplome de médecin en 1775 dans les Provinces Unies, il s’installa à Paris et ouvrit un cabinet d’expériances où il fit des recherches en physique expérimentale, sur la nature du feu, la lumière et l’ éléctricité medical.
Le 12 septembre 1789, Marat publiait le premier numéro de “ Publiciste parisien “, et jusqu’a septiembre 1792 ferat paraître près de mille numéros.
Après la journée de 10 Août 1792 il incite à l’élimination de royalistes emprisonnés, et cette fois il est suivi par les girondines. Les révolutionnatres se rendirent aux prisons et y massacrèrent des nombreux prisionniers ( environt 1.500 morts ).Le 9 septembre 1792 Marat est choisi député.
La Convention National décréta l’ arrestation de Marat en 1793. Dépuis le 3 juin Marat tombe malade d’origine herpétique et sa l’obligue à prendre des bains pour se soulager.
Marie-Anne Charlotte de Corbay arrive à Paris dans l’intension d’assasiner Marat dans l’Assemblée, mais Marat reste chez lui par la maladie et reçoit la visite de députés jacobins avec le peintre Jaques Louis David.
Le 12 juillet Marat reçoit la visite de Charlotte Corbay à la troisième tentative, et aprés un entretien qui dure un quart d’heure, sorte un couteau et frappe Marat à la poitrine et traverse le poumon droite,l’aorte et le coeur. Marat était dans sa baignoire-
Mara test presenté comme martyre de la liberté et “ panthéonisé “ le 5 septembre 1794.

Lucia Agramunt
4 5
La Révolution Francaise
La prise de la Bastille
14 juillet 1789

40 jours plus tôt, les États Généraux se sont réunis à Versailles et les députés ont constaté que les maux du gouvernement appelaient davantage qu'une simple réforme de l'impôt. Ils ont décidé de remettre à plat les institutions et de définir par écrit, dans une Constitution, de nouvelles règles de fonctionnement, selon l'exemple américain.
Le 9 juillet, l'assemblée réunie à Versailles se proclame Assemblée Nationale Constituante. L'initiative ne plaît pas au roi ni à son entourage. Le 12 juillet, Louis XVI renvoie son contrôleur général des finances, Jacques Necker, un ministre très populaire.
Tout bascule avec l'arrivée de deux détachements de la Garde National. Ces soldats professionnels chargés de veiller sur la capitale prennent le parti des émeutiers. Ils vont leur assurer la victoire.
Sous le commandement de deux officiers, Élie et Hulin, ils amènent deux canons et les pointent sur la Bastille. Il s'ensuit un début d'incendie à l'entrée de la forteresse et quelques pertes chez les défenseurs.
Il est 4 heures du soir. De Launay se ressaisit, ordonne soudain le feu à outrance puis tente de faire sauter les magasins de poudre. Mais ses invalides lui imposent de brandir un mouchoir pour parlementer. Le feu cesse. Les ponts-levis sont abaissés et la foule se rue dans la forteresse.
Les soldats suisses, qui ont eu le temps de retourner leurs uniformes, sont pris pour des prisonniers et épargnés. Mais la foule lynche les invalides.
Le marquis de Launay, qui a tenté de se suicider, est traîné dans les rues de la capitale avant d'être décapité. Sa tête est fichée sur une pique et promenée en triomphe à travers le faubourg ainsi que les têtes des autres défenseurs de la Bastille.
À la Bastille, on libère les détenus au prix d'une légère déception car il ne s'agit que de sept personnages de minable envergure. Au demeurant, les émeutiers sont surpris de découvrir des chambres spacieuses et d'un grand confort, à l'opposé des cellules de torture que décrivaient complaisamment dans leurs brochures les intellectuels poudrés qui avaient eu, comme Voltaire, l'occasion de séjourner à la Bastille. 

Source 
Herodote
http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=17890714

Sachezvousdistinguer
http://www.vurpillot-jenna.fr/blog/rediffusion-du-14-juillet-2008-du-2007-du-2006-du-2005/

Louis Mancebo 
45

Biographie de Jean-Paul MARAT

Note de Mme Castro : Ce travail sérieux et complété par des images pertinentes (malheureusement pas visibles ici) a été récompensé par la note maximale. Je le considère personnellement comme étant le meilleur de la classe, bien que celui d'Anna Bernial ait rendu le choix difficile.


Jean-Paul Marat, né à Boudry le 24 mai 1743 et mort à Paris le 13 juillet 1793 est un médecin, physicien, journaliste et homme politique français.
Il fut députe montagnard à la Convention à l’époque de la révolution.
Il a été longtemps considéré comme le responsable des massacres de septembre.
Après son assassinat par Charlotte Corday les Hébertistes ont fait de lui un martyr de la Révolution et ont installé ses restes au Panthéon pendant des mois.

Après ses études secondaires, il quitte sa famille à la fin 1759.
Après son passage par Bordeaux il séjourne à Paris en 1762-1765 où il entreprend en autodidacte ses études de médecine. Puis il s’établit en Grande-Bretagne, en 1770 il est médecin et vétérinaire à Newcastle. Il publie des ouvrages philosophiques, scientifiques et juridiques (Essai sur l’âme humaine, Essai philosophique sur l’homme, Les chaînes de l’esclavage….).
En 1775, il est reçu docteur en médecine à l’université de Saint-Andrew, en Écosse, rentre à Paris en 1776 où il est nommé médecin des gardes de corps du comte d’Artois.

Il rédige son Plan de législation criminelle autour des années 1777-1778, où il s’attaque à l’ordre social en dénonçant le caractère de classe de la justice, des lois, de l’État et du droit de propriété.
En 1788, il tombe gravement malade.
En 1789, il fonde un Journal, l’Ami du Peuple, qui attaque violemment les aristocrates, les ministres, et surtout La Fayette.
Son oeuvre s’intéresse de près aux masses populaires qui, selon lui, auraient dû être les vraies bénéficiaires de la Révolution française.
Ses critiques se tournent contre la bourgeoisie du Tiers État et contre ceux qui la représentent, en particulier, Mirabeau et La Fayette.
Il devient membre des Cordeliers, puis membre du Comité de surveillance de la Commune.
En 1792 il s’éprend de Simone, 28 ans, qu’il avait connue deux ans auparavant, qu'il épousera.
Député de Paris à la convention, montagnard extrêmiste et presque isolé, il vote la mort de Louis XVI, réclame une dictature révolutionnaire et s’oppose fermement aux Girondins qui chutent le 2 juin 1793.
La réaction est brutale: une de leurs admiratrices, Charlotte Corday, l’assassine à son domicile.
Jacques-Louis David fut chargé d’organiser des funérailles grandioses.
Jean Paul Marat passe alors à la postérité, comme la figure mythique des sans-culottes.



Sitographie: - www.jesuismort.com/biographie_celebrite_paul_marat
- fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Marat
- bogdisea.com
- agoravox




Opinion Personnelle:

À mon avis, Marat était un homme d'une grande intelligence, défenseur du peuple et du pouvoir établi et qui mena ses idées jusqu’au bout quelqu'en soient les conséquences. C'est un personnage fondamental de l’histoire de la Révolution française dont la figure sera érigée en martyr.




Clara Juan Orduña. 4º-5.

La prise de la Bastille

La prise de la Bastille est un événement de la Révolution française du 14 juillet 1789. Le peuple avait imaginé que la Bastille renfermait beaucoup de victimes de l’arbitraire. Ce jour date la fin de l'«Ancien Régime» et le début de la Révolution française.
La Révolution commence :
Des jours avant les états généraux se sont réunis à Versaille. Les députés décident de mêttre par écrit une constitution. Le 9 juillet l’Assemblée se proclame Assemblée constituante ce qui ne plaît pas au roi : conséquence le roi renvoie le ministre Nécker.
Échec de l’émeute :
Le 13 juillet, à Paris, la rumeur se répand que les troupes royales vont entrer en force dans la capitale pour mettre les députés aux arrêts. Au matin du 14 juillet, des artisans et des commerçants se rendent à l'hôtel des Invalides en quête d'armes. Le gouverneur cède aux émeutiers et ouvre les portes. La foule emporte 28.000 fusils et 20 bouches à feu. Mais il lui manque encore de la poudre... La garnison se compose de 82 vétérans, dit invalides, et d'un détachement de 32 soldats suisses. Face à elle, les émeutiers ne font pas le poids. Ils sont un millier seulement, sans commandement et sans armes lourdes. Le marquis de Launay, gouverneur de la Bastille, veut gagner du temps en attendant des secours. Il reçoit trois délégués et les retient à déjeuner. Il s'engage à ne pas tirer sous réserve que les émeutiers ne tentent pas d'entrer dans la forteresse. Mais une explosion mystérieuse émeut la foule. On crie à la trahison. Un groupe pénètre dans l'enceinte par le toit du corps de garde et attaque à coups de hache les chaînes du pont-levis. Puis il y a une 100 de morts.
Les gardes françaises contre la Bastille:
L'arrivée de deux détachements de gardes françaises. Ces soldats professionnels chargésde veiller sur la capitale prennent le parti des émeutiers. Ils vont leur assurer la victoire. Élie et Hulin, deux officiers, ils amènent deux canons et les pointent sur la Bastille. Le marquis de Launay tente de se suicider mais Sa tête est fichée sur une pique et promenée en triomphe à travers le faubourg ainsi que les têtes des autres défenseurs de la Bastille. À la Bastille, on libère les détenus.
Finalement:
Le premier anniversaire de l'événement donnera lieu à une grande réconciliation nationale, la Fête de la Fédération.
Bibliographie:
http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=17890714
« diccionario enciclopédico larousse editorial planeta »
Moi je pense que ce texte il est très intéressant car il nous facilite la compréhension de l’histoire et sa nous porte toujours de l’émocion parce qu’on cést pas se que va se passé après. C’est trèsamusant de pouvoir savoir comment sa s’est passé et pouvoir l’imaginé tout.
Anna BERNIAL ALMOR 4º5

La déclarartion des droits de l’homme et du citoyen . (1789)

Introduction :

Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution, et au bonheur de tous.


Se compose d'un préambule et 17 articles, et l'ambition des éditeurs de fournir un document consistait non seulement applicable à la France, mais d'une validité universelle. L'axe de la déclaration est l'égalité de tous les hommes: l'égalité politique (un homme une voix), (suppression des titres de noblesse) civile (pas de privilèges ou exemptions) et social. Les libertés sont aussi reconnu comme un élément naturel (c.-à inhérents à l'individu) pour afficher la personnalité précise, maintenir leur propre conscience et de faire un travail. En termes de libertés publiques, sont inscrits dans le regroupement, d'association, d'opinion, etc.

Mon opinion : J’ai choisis ce thème car je pense qu’il est très interessant de savoir depuis quand on a des droits .

Bibliographie : 

Sara Gil
 

Le Directoire

 Le Directoire est une période de la Révolution française qui dure du 4 Brumaire an IV (26 octobre 1795) au 18 Brumaire an VIII (9 novembre 1799). Il s’agit de la seconde tentative pour créer un régime politique constitutionnel. Le pouvoir législatif repose sur un parlement bicaméral (le Parlement est divisée en deux chambres distinctes, une chambre haute et une chambre basse) : le Conseil des Cinq-Cents (assemblée législative formée par 500 membre) et le Conseil des Anciens (autre assemblée législative formée par 250 membres). Le pouvoir exécutif, lui, est un directoire de cinq personnes nommées par le Conseil des Anciens sur une liste formulée par le Conseil des Cinq-Cents. Les ministres et les cinq directeurs ne sont pas responsables devants les assemblées mais ils ne peuvent pas les dissoudre, car aucune procédure ne permet de résoudre les conflits. 
 

Le conseil des Cinq-Cents

Les Thermidoriens, députées de l’Assemblée nationale, ont imposé que les deux tiers des élus soient de la Convention. Les régions de l’ouest, de la vallée du Rhône et de l’est du Massif Central élisent des députés royalistes. Pendant toute le durée du Directoire, le régime est très instable : les réseaux par correspondance royalistes mêlent renseignement, propagande et action politique. En mars 1797, les partisans du retour à la monarchie remportent les élections. Les Républicains, en septembre 1797, organisent un coup d’Etat qui chasse deux des cinq directeurs et invalide l’élection de 177 députés.

Les élections de 1798 semblent favoriser les Jacobins (dominicains, société politique), et les conseils s’octroient le droit de nommer les députés dans la moitié des circonscriptions (fractions du territoire qui sert de cadre à l’élection de chaque député). Les Thermidoriens gardent le pouvoir, mais sont totalement inaperçus. La situation économique contribue à détourner les Français du Directoire : les impôts ne sont plus encaissés, et l’assignat (billet de monnaie) a perdu toute sa valeur, qui est vite remplacé par une autre monnaie. Le mandat territorial subit en un an la même chose que l’assignat. La France connaît donc une baisse de prix, et incapable de faire face à l’énorme dette accumulée par la monarchie absolue en 8 années de révolution, les assemblées créent la banqueroute des deux tiers. La France refuse de payer, mais consolide le tiers restant en l’inscrivant dans le grand livre de la dette. Un nouvel impôt est créé en 1798.

Les armées françaises sont passées à l’offensive. En 1796, la France lance une attaque à travers l’Allemagne pour obliger l’Autriche à faire la paix, mais c’est l’armée d’Italie, commandée par le général Napoléon Bonaparte, qui gagne victoire en victoire en for4ant l’Autriche à signer la paix par le traité de Campo Formio du 17 avril 1797.

Le Directoire prend fin par le coup d’Etat du 18 Brumaire an VIII (9 novembre 1799) de Napoléon Bonaparte qui déclare « Citoyens, la révolution est fixée aux principes qui l’ont commencée, elle est finie. ». Le Consulat est mis en place et un nouveau régime est aussi mis en place : le régime autoritaire, dirigé par trois consuls, dont le premier détient le pouvoir. La France commence une nouvelle période de son histoire en confiant son futur à un empereur.


Napoléon premier consul

Je pense que le Directoire aurait très bien put s’en sortir si il n’aurait pas eu à rembourser toutes les dettes datant de la monarchie absolue. Cette période est fort intéressante, mais il y a eu beaucoup de complications et donc cette période n’a pas pu subsister.





BONDOERFFER Pierre, rédigé le 17/02/11.

L´éxecution de louis xvi

La famille royale , depuis la journée du 10 out , elle était enfermée dans la Tour du Temple . Les Girondins avaient peur des conséquences de l´éjecution du roi et préféraient la déportation à un pays étranger en lui exigent qu´ il n´ allait pas faire échouer la révolution.
Les jacobins au contraire étaient partidaires de l´éxécution du roi ,la Convention était la responsable de choisir le destin du roi. Les disputions durèrent trois mois, les Girondins défendirent débilement la vie du roi mais ils furent petit à petit convaincus. En fin ils firent une triple votation : la première pour décider si le roi était coupable .La deuxième pour décider si on consulter à la nation le futur du roi et la troisième si la Convention déciderait le futur du roi si la deuxième ne prospérait pas .Dans la première décidèrent que le roi était coupable, la deuxième ne prospéra pas. La convention lui condamna a mort pour 387 votes contre 334. Le 21 janvier Louis Capeto fut sorti de la Tour de Temple et conduit à la Place de la Révolution ou on avait levé l échafaud. Louis parla a voix haute il se déclara innocent et montra son amour pour la France et les français mais il ne le laissèrent pas terminer, puis le roi fut exécuté.


Avis personnel :

Je pense que l´exécution du roi n´était pas nécessaire car le résultat de la révolution ça aurait était le même étant le roi en prison. Je pense que ça aurait était mieux une déportation à un pays étranger et je suis sure que  l´exécution  fut une image néfaste de la France pour les autres pays européens .



Bibliographie :

- encyclopédie d´histoire universel Eunsa.

Pedro Aparicio

La prise de la bastille

Att: Mme Castro

La prise de la Bastille est un événement de la Révolution française survenu le mardi 14 juillet 1989. Le 14 juillet jour où la Bastille est prise d´assaut par les Parisiens est, par tradition, considérer comme marquant la fin de l´Ancien Régime et le début de la Révolution française. Le président de l´Assemblée Constituante le 14 juillet 1789 est l´Abbé Grégoire. La fête de la fédération fut organisée a la même date l´année suivante, pour coïncider avec le premier anniversaire de l´événement.

La foule se rassemble au pied de la Bastille, armée avec les armes prises aux Invalides. Deux délégations sont envoyées dans la matinée au gouverneur Launay, il les reçoit mais ne leur donne pas satisfaction.
En début d´après midi, les défendeurs de la Bastille ouvrent le feu sur les émeutiers qui la menacent. Deux nouvelles délégations sont envoyées au gouverneur, sans plus de succès, tandis que défenseurs et émeutiers se tirent toujours dessus.
Cinq des six compagnies du prestigieux corps d'élite des Gardes Françaises entrent dans la révolte. Ils amènent 5 canons des Invalides et les mettent en batterie devant la Bastille. Le gouverneur finit par accepter la reddition de la Bastille, contre promesse de laisser la vie sauve a tous les défenseurs. Malgré les garanties qui lui avaient été données , le gouverneur de la Bastille Launay est massacre par la foule. Le prévôt des marchands subit le même sort, et leurs têtes sont promenées au bout de piques dans toute la ville.

Ignorant la chute de la Bastille, et voulant apaiser les choses, Louis XVI donne en fin de journée l'ordre d'évacuer les régiments qui campent dans la capitale.
D'un point de vue purement pratique, politique et stratégique, l'aventure de la prise de la Bastille s'arrête ici. Les parisiens sont armes , mais le régime ne chute pas pour autant. C'est sur le plan du symbole que l'événement est d'importance .Il fera grand bruit dans l'Europe entière. A défaut de servir encore a quelque chose, la Bastille était le symbole de l'arbitraire du roi. En la détruisant, c'est le symbole de la toute puissance du roi qu'on jette a bas.

Pour se faire une idée de la porte du symbole, pensez aux attentats du 11 septembre contre le World Trade Center : l'économie américaine ne s'est pas effondrée avec les tours, aucun dirigeant politique ou économique de premier plan n'a été tue... mais pourtant le monde a été marque par une atteinte au symbole de la puissance économique et financière américaine. Avec la prise de la Bastille , c'est pareil : rien n'empêche le pouvoir monarchique de marcher comme avant, mais le symbole est atteint et le mythe de sa toute puissance a vécu.

Je crois que cette révolution était nécessaire. Quand je pense a la peur , la frayeur de ces braves gens, on est en droit de se demander comment ils ont pu arrive a cette situation. Peut être ça nous fait penser dans nos jours a ce qui se passe dans certains pays où les présidents (ou les rois ) ne pensent que a dépenser les économies de toute une vie de labeur et n'aident pas les régions du pays a sortir du sous développement.


SOURCES:



PAOLA MAGNANON LOPEZ
4 ème 4
Gamain serrurier du roi, dénonça l`armoire de fer après plusieurs ans au service de Louis XVI
François Gamain, né à Versailles le 29 août 1751, appartenait à une famille d'entrepreneurs de serrurerie, qui était venue s'établir à Versailles à l'époque des grands travaux faits dans cette ville par Louis XIV. Son père, Nicolas Gamain, serrurier fort habile, était entrepreneur des bâtiments du roi.


Il fit de son fils un adroit ouvrier et le chargea de la serrurerie de l'intérieur du château.
.Le Roi rencontrait souvent le jeune serrurier dans les appartements, il aimait parler avec lui de ses travaux. Il s'attacha à François Gamain, et voulut essayer, sous sa direction, à fabriquer des serrures et quelques objets d'art à son usage. Il fit construire un petit atelier dans les combles du château. Dans cet atelier, qui existe encore aujourd'hui, il s'enfermait fréquemment avec Gamain, et travaillait avec lui pendant des heures entières. Le roi l'avait pris en grande affection; il l'avait nommé serrurier de ses cabinets, ce qui lui donnait l'entrée dans ses appartements, et, lorsque le père de Gamain mourut, il lui continua la charge de serrurier de ses bâtiments.

L'affection de Louis XVI pour Gamain était si grande, qu'elle choquait ceux qui étaient admis dans l'intimité du roi.

Lorsqu'arrivèrent les journées des 5 et 6 octobre 1789, et que Louis XVI fut forcé menacé à tout instant de l'envahissement de son palais, Louis XVI sentit la nécessité d'avoir un lieu sûr et caché où il pût déposer ses papiers les plus importants, ce fut encore à Gamain qu'il s'adressa pour exécuter ce travail de confiance, et ce fut lui qui construisit l`armoire de fer.

Elle avait été fabriquée dans l'épaisseur d'un mur, près de la chambre à coucher du roi et elle était fermée par une porte en tôle de fer recouverte d'une couche de peinture imitant la pierre ; l'ouverture de la serrure se trouvait dissimulée dans les rayures de la pierre. Il était impossible de découvrir cette cachette. La reine ayant appris que Gamain était devenu révolutionnaire et haïssait la royauté et le roi, le mit en garde contre lui. Sur les insistances de la reine, le roi accéda de retirer de l'armoire les pièces les plus compromettantes
La plupart des pièces concernaient les correspondances des ministres de Louis XVI D'autres lettres concernaient aussi presque tous les acteurs de la Révolution, que ce soit le général Santerre ou La Fayette, Antoine de Rivarol ou Talleyrand.
D'autres documents étaient des rapports concernant les activités de corruption menées par les agents des ministres sous la direction de Collenot d'Angremont qu'on se précipita d`"expédier", avec Laporte.
Le 1er décembre Gamain fit cette déclaration (texte avec l`orthographe respecté) :

« J'ai cru, devoire, en décharger ma conscience et en faire la révélation au citoyen Heurtier, mon supérieur, dont je me flatte d'avoir la confiance à tous égard. Je déclare donc que le dix-huit novembre dernier j'ai déposé mon ségré dans le sein du citoyen heurtier, que j'ai ensuite été appelé à paris par lui, de la part du Ministre, de l'intéreure ou m'étant transporté le ving dumaime mois, j'ai accompagné le ministre aux thuilleries pour lui indiquer l'ouverture en question. Je déclare en outre que le meime jour j'ai ouvert par ordre du Ministre la porte qu'il recouvrait la ditte cachette dans laquelle le Ministre a trouvé des papiers qu'il a fait emparqueté, en présent du citoyen heurtier et de moy, pour être le tous transporté à la Convention nationale par des personnes qu'il a fait appelée à cet effet.
« Fait à Paris le premier décembre 1792, premier de la République française. François GAMAIN.

Si Gamain n`aurait pas parlé, on aurait peut-être pas su la trahison de Louis XVI donc je pense que Gamain a bien fait de le dire.
Si on veut savoir plus:
Sources :

Marta Forés Legua 4ème4

L'armoire de fer

Note de Mme Castro : Ce travail a été récompensé par la note maximale. Je le considère personnellement comme étant le meilleur de la classe, ex-aequo avec La fusillade du Champ-de-Mars d'Inés Cuartero. La présentation, les images et les liens apportant des précisions supplémentaires ajoutent à la qualité du texte ; malheureusement ces aspects ne sont pas visibles ici. 


AFFAIRE DE L’ARMOIRE DE FER DE LOUIS XVI, OU LA TRAHISON DU SERRURIER FRANÇOIS GAMAIN.
   
Louis XVI s'adressa à son serrurier attitré, François Gamain, pour construire une armoire de fer et cacher aux yeux des Révolutionnaires des documents attestant de tractations secrètes avec des cours européennes et ses correspondances avec Mirabeau, Dumouriez et La Fayette. Mais à l'annonce de la fuite du roi, le serrurier en révéla l'existence de cette armoire, accusant de surcroît le souverain d'avoir tenté de l'empoisonner. Une affaire opportune plaidant en faveur de l'accusation au procès de Louis XVI...
Cette armoire était destinée à dissimuler la correspondance de Louis XVI avec, entre autres, Mirabeau dont on découvrit la vénalité et le double jeu, Maximilien Radix de Sainte-Foix, conseiller occulte du souverain, Joseph Duruey et Tourteau de Septeuil ses banquiers, Arnaud de Laporte, intendant de la Liste civile sur laquelle des fonds étaient prélevés, François de Bonal, évêque de Clermont, etc. C'est à la suite de cette découverte que la dépouille de Mirabeau fut retirée du Panthéon.
La plupart des pièces concernaient les correspondances des ministres de Louis XVI (Montmorin, Valdec de Lessart, Bertrand de Molleville, le comte de Narbonne, Cahier de Gerville, Dumouriez, etc.). D'autres lettres concernaient aussi presque tous les acteurs de la Révolution, que ce soit le général Santerre ou La Fayette, Antoine de Rivarol ou Talleyrand.
D'autres documents étaient des rapports concernant les activités de corruption menées par les agents des ministres sous la direction de Collenot d'Angremont qu'on se précipita d'"expédier", avec Laporte, dans les jours qui suivirent le 10 août 1792.
Tous ces documents, malgré les lacunes et filtrages probables, démontraient la duplicité des conseillers et des ministres - du moins ceux dont Louis XVI avait la confiance - qui avaient mis en place une diplomatie et une police parallèles. On découvrit surtout l'existence d'un vaste réseau de corruption mis en place et structuré dès 1791 par Montmorin pour corrompre des meneurs populaires ou des orateurs de clubs, ainsi Antoine Joseph Santerre ou François Desfieux[1]. Des tentatives avaient même été menées pour gagner des députés de l'Assemblée, notamment lorsqu'après la journée du 20 juin 1792, il avait été question d'aborder la question du "décret de déchéance".
Lors de la journée du 10 août 1792, les papiers personnels de Louis XVI et de Marie-Antoinette furent confiés à des membres de leur entourage. Ainsi, Mme Campan, lectrice de l'ex-reine de France, recueillit-elle une liasse de documents importants qu'elle remit à Georges Gougenot de Croissy (1721 – 1796), secrétaire honoraire du roi. D'autres papiers, lettres et correspondances, furent mis en lieu sûr ou détruits. Mais les plus grandes destructions sont imputables à ceux qui avaient été compromis par les conseillers occultes de Louis XVI. Le ministre de l'Intérieur Roland aurait joué un rôle à cet égard et fait disparaître ce qui concernait son collègue Danton. Le 20 novembre 1792, Jean-Marie Roland déposait ces archives, du moins ce qui en restait et qui était considérable, sur le bureau de la Convention nationale, brisant ainsi toutes les manœuvres destinées à empêcher de renvoyer Louis XVI en jugement.
Mon opinion :
Moi, personnellement je serais de la part des révolutionnaires, mais je crois qu’à l’intérieur de la Convention je serais plutôt de la part des Girondins, qui ne sont pas aussi strictes que les Montagnards.
Ce travail m’a paru vraiment très intéressant et j’ai appris de nouvelles choses. J’ai aimé faire ce travail.
Ça me paraît, comme une nouvelle de mystère, avoir trouvé une armoire en ‘’cachette’’…
La Source :

Signature complète: María Llorens Furió.
Classe : 4.4 année 2010-2011

LA FUSILLADE DE CHAMP-DE-MARS

Note de Mme Castro : Ce travail a été récompensé par la note maximale. Je le considère personnellement comme étant le meilleur de la classe, ex-aequo avec L'armoire de fer de María Llorens. Outre les images qui ne sont pas visibles ici, j'ai apprécié les nombreux liens, notamment celui sur le personnage fascinant de Louise de Keralio, qui m'était inconnue.

Le 17 juillet 1791, une fusillade se produit sur le Champ de Mars, à Paris. Après la fuite du roi le 20 juin 1791, Louis XVI a perdu la confiance du peuple. Même si l’Assemblé Constituante tente de sauver les apparences en disant que tout avait été un enlèvement et non une fuite, la monarchie n’est plus bien vue aux yeux du peuple qui avène une République. L’idée de l’abolition de la monarchie et de l’instauration de la république fait son chemin. Le 15 juillet 1791, Choderlos de Laclos rédige une pétition en faveur de la République exigant la fin de la monarchie. Le texte est mis au point par Brissot. Les démocrates et les républicains se rassemblent alors au Champ-de-Mars, le 17 juillet 1791, afin de faire signer une nouvelle pétition pour priver le roi de ses pouvoirs et qui jure de ne plus le reconnaître, par les Parisiens. Vers une heure, la pétition n’étant toujours pas arrivée, François Robert et Louise de Keralio décident d’en rédiger une sur le champ. La Fayette, qui s’est porté au-devant des signataires, à la tête de la Garde nationale dont il est le commandant, a été mal accueilli. La foule jette des pierres à la garde nationale. Le Maire de Paris, tente de réprimer le désordre en décrétant la loi martiale qui permet aux forces de l’ordre de faire usage de leurs armes. L’Assemblée réagit et, sous le commandement de La Fayette, la Garde nationale ouvre le feu. Environ cinquante personnes, de tout sexes et de tout âges sont tuées.
A la séance de la convention nationale du 15 janvier 1793, François Robert, député du département de Paris, affirme être l'auteur de la pétition : "Cette pétition est écrite de ma main, j'en ai tracé les sacrés caractères sur l'autel même de la patrie : d'ailleurs, la voilà, elle est encore teinte de mon sang, de celui de ma femme, de mon enfant unique, de celui de plusieurs milliers de mes concitoyens."

Conséquences

La popularité de La Fayette souffrit énormément de cet événement. Le 8 octobre 1791, il démissionne de son commandement avant de se retirer dans ses terres. Il conservera au moins la vie tandis que Bailly à qui les sans-culottes parisiens n’ont jamais pardonné cette fusillade, considérée comme un crime contre le peuple, la paiera de sa vie, montant à l’échafaud le 12 novembre 1793. À l’origine, celui-ci devait être guillotiné au centre de l’esplanade du Champ-de-Mars avant que le caractère sacré de l’endroit ne soit invoqué pour y interdire le déroulement de l’exécution.
Opinion personelle:

Moi je pense que les démocrates et les républicains ont bien fait en critiquant la monarchie et en faisant ce qu’ ils croyaient qui était bien pour eux et pour le peuple. Je crois que la Garde nationale aurait pu essayer d’abord de negocier avec la parole avant de ouvrir feu et tuer une cinquantaine de personnes. Je croi que la violence ne solutione rien et je ne suis pas d’ accord avec la metode prise pour arrêter le peuple.


LA FUSILLADE DU CHAMP DE MARS

Surces :

Enciclopedia Historia Universal:
El impacto de la Revolución Francesa, SALVAT

HERODOTE.NET

LINTERNAUTE

INTELLEGO

Lienhypertexte:


http://www.linternaute.com/histoire/categorie/evenement/27/1/a/54575/fusillade_du_champ-de-mars.shtml


Inés Cuartero
4e4

La prise de la Bastille

En 1789 la France traverse une grave crise financière. Louis XVI, qui est au pouvoir à ce moment-là, voudrait imposer un nouvel impôt mais il doit d’abord avoir le consentement du royaume. Les députés du Tiers-Etat demandent en contre- partie des réformes profondes mais le roi n’est pas d’accord.
Les députés se réunissent donc pour former une assemblée qui aiderait le souverain à gouverner. Ceci est très mal perçu par le roi car c’est remettre en cause le principe de la Monarchie Absolue. Louis XVI décide alors de faire encercler Paris par ses troupes pour récupérer le contrôle de la situation mais la population se fâche. Le peuple commence alors à dévaliser les armureries et marche vers la Bastille pour chercher de la poudre pour leurs armes. La Bastille était, entre autres, un arsenal et le peuple pensait pouvoir se fournir en poudre là-bas.
Le Gouverneur de la forteresse refusa d’ouvrir les portes et les français forcèrent alors le pont-levis et s’emparèrent de l’édifice. La Bastille fut détruite ce jour-là, le 14 juillet 1789, après l’assaut du peuple français.La Bastille était initialement un château-fort, un arsenal ainsi qu’une prison. Elle fut bâtie entre 1370 et 1383 et s’appelait Bastille Saint-Antoine. Elle était située à l’actuelle place de la Bastille à Paris.
La prise de la Bastille a donc marqué la fin de la monarchie absolue et la naissance de la Nation souveraine et de la Première République en 1792.

Mon point de vue personnel :

D’après moi la prise de la Bastille était un événement justifié dans le contexte de l’époque à cause de la pauvreté dans laquelle les gens vivaient. En effet, le peuple s’est révolté aussi car après deux années de très mauvaises récoltes le prix du pain avait beaucoup augmenté et les gens ne pouvaient plus suppporter cette misère. Il faut aussi souligner la grande différence entre les classes sociales de l’époque et cette révolution à permis au peuple de retrouver ses droits et de partager les richesses du pays.

Liens hypertexte :

Florent Perrenoud
4°-4

Les sans-culottes

Les sans-culottes sont des personnages de la Révolution française, ils sont issus d'un partie modeste du peuple. Ils veulent se distinguer du reste des révolutionaires. Le sans-culotte est issu du milieu de la boutique et des structures modestes de production artisanale ,mais en définit pas une classe sociale. L’épithète sans-culotte, qui était à l’origine synonyme de “canaille”, désignant à la fois «la pauvreté», «la bestialité», et «l’inculture», s’est chargé d’une signification nouvelle et positive au cours de la Révolution. Le sans-culotte constitue une opposition à la figure de l'aristocrate, mais aussi à celle de la bourgeoisie comme les girondins. Sa façon de se vestir est simple, il utilise le tutoiement et s'interpelle avec le mot “ citoyen”.

Le langage du vêtement
Au XVIIIeme siècle ceux qui ne portaient pas de culotte travaillaient de leurs mains,ils étaient : artisans, typographes, ouvriers... D'abord, ce furent les candidats députés, ceux qui étaient contre le roi et les privilèges de la noblesse, qui portaient des pantalons.
Ensuite, les élus du Tiers-Etat arboreront des vêtements noirs avec
des bicornes. Les sans-culottes porteront le pantalon, rayé souvent aux trois couleurs, la blouse et le gilet ou la veste courte à gros boutons (la carmagnole), des sabots qui marquent son appartenance au peuple travailleur et pour couvrir sa chevelure, un bonnet appelé bonnet phrygien, symbole de liberté sous l'Empire romain.

Apparition et disparition des sans-culottes
Les sans-culottes sont une nouvelle figure révolutionaire. L'Assemblée Nationale et les chefs politiques de la Révolution marquèrent leur attachement aux sans-culottes jusqu'à la chute de Robespierre. Ils exercèrent une véritable pression sur la politique et purent compter sur l'appui de quelques journalistes comme Marat, Hébert et Roux. Ils ont duré juste le temps de la révolution puis, avec la chute Robespierre en 1794, ils ont perdu leurs pouvoirs et leurs rôles politiques et culturels.

Opinion personnelle
Je pense que les sans-culottes ont joué un rôle important dans la Révolution, car ils ont lutté pour essayer de vivre dans des conditions dignes. Sous la pression des sans-culottes, la Convention a agi pour rétablir une certaine justice. Le sans-culotte est un symbole très fort de la Révolution française, car il représente le peuple.






Charpentier Charles, 4eme4

La prise de la Bastille

La prise de la Bastille est un évènement de la Révolution française survenu le mardi 14 juillet 1789. La reddition de la Bastille, symbole du despotisme, fit l’effet d’un séisme, en France comme en Europe, jusque dans la lointaine Russie impériale. Forteresse du secret, et lieu sans justice, la Bastille fut le premier rendez-vous de la Révolution.» Le 14 juillet 1789, jour où la Bastille est prise d’assaut par les Parisiens est, par tradition, considéré comme marquant la fin de l’Ancien régime   et le début de la Révolution française. Le président de l'Assemblée Constituante le 14 juillet 1789 est l'Abbé Grégoire. La Fête de la Fédération fut organisée à la même date l’année suivante, pour coïncider avec le premier anniversaire de l’évènement. C'est ce premier anniversaire qui est commémoré chaque année depuis 1880, lors de la Fête nationale française du Quatorze juillet, et non l'épisode sanglant de 1780.
Conséquences :
D'un point de vue purement pratique, politique et stratégique, l'aventure de la prise de la Bastille s'arrête ici. Aucun détenu d'importance n'est libéré. Les parisiens sont armés, mais le régime ne chute pas pour autant. Le pouvoir royal n'est même pas privé de prison d'Etat, puisqu'elle était déjà vide et que Louis XVI avait même déjà donné l'ordre de la détruire prochainement. C'est sur le plan du symbole que l'événement est d'importance. Il fera grand bruit dans l'Europe entière. A défaut de servir encore à quelque chose, la Bastille était le symbole de l'arbitraire du roi. Sur simple lettre de cachet, il pouvait y faire emprisonner (on disait embastiller) n'importe quel opposant (Beaumarchais par exemple y avait eu droit). En la détruisant, c'est le symbole de la toute puissance du roi qu'on jeté à bas.

Point de vue personnel : Dans la Révolution français il y a eu beaucoup de révoltes à cause de l’augmentation du prix.

Sources : Wikipédia et l’histoire de la prise de la Bastille. (google.fr)

Díaz Bañón Camino : 4º4.

Qui est Louis XVI et pourquoi a-t-il été guillotiné?

1-Qui est Louis XIV?
Louis XVI (roi de France 1774 à 1791) est né à Versailles le 23 août 1754, fils de Marie-Josèphe de Saxe et de Louis, Dauphin de France et petit fils de Louis XV. Lorsque qu’il était âgé d’onze ans, son père mourut et quand il a treize ans sa mère mourut aussi. Il fut élevé par le duc de la Vauguyon et Mgr Coetlosquet. En 1770, il fut marié à l’archiduchesse Marie-Antoinette (fille de l’empereur d’Autriche François 1er).Louis XVI et Marie-Antoinette eurent quatre enfants (dont deux sont morts très jeunes). Il fut sacré roi de France et des Français.
Il fut guillotiné le 21 janvier 1793. 

 
2-Pourquoi a-t-il été guillotiné?
En 1789, le roi n’avait plus d’argent, car la France avait été le seul pays à aider Washington, ce qui avait couté cher. C’est pour cela que le roi convoqua les États généraux le 5 mai 1789. Dans le pays il y eut plusieurs révoltes, qui ont mené la prise de la Bastille le 14 juillet 1789. Le 4 août les privilèges furent abolis et le 26 août: déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Entre le 5 et 6 octobre 1789, la Marche des parisiennes vont à Versailles et réclament au roi le pain, Louis XVI fut obligé à rentrer à Paris avec sa famille. Comme le roi n’était pas d’accord avec les réformes que l’on avait fait dans le pays et il décida de s’enfuir avec sa famille pour rejoindre l’armée autrichienne, mais ils furent reconnus à Varennes la nuit du 20 au 21 juin. Les Français ne fessaient plus autant de confiance au roi. L e 10 août 1792 le palais des Tuileries fut envahi et la famille royale fut arrêtée: la monarchie absolue était renversée. Après avoir gagné à Valmy, on ouvrit une nouvelle assemblée: la Convention (élue à suffrage universel masculin). Le 20 septembre, la Convention décréta la République et on installa un calendrier révolutionnaire. Le 20 novembre 1792 on découvrit «l’armoire de fer». Tous ses faits accusaient Louis XVI de trahison et de conspiration à l’État. Le 21 janvier 1793, Louis XVI (Louis Capet) fut guillotiné à la place de la révolution (aujourd’hui place de la Concorde). Ses derniers mots furent: «Peuple, je meurs innocent, je pardonne à mes ennemis, je désire que ma mort soit…», la fin de la phrase ne put pas être écoutée car un roulement de tambour la couvrit.

Point de vue personnel:
J’ai choisi ce thème car je l’ai trouvé très intéressant. Je pense que c’est une étape très important de l’histoire, car ça a beaucoup influencé et continu à influencer de nos jours.

Bibliographie:

Beatriz Pradas 4ème 4